La porte du jardin
La porte du jardin
Je vois ton geste à la porte du jardin
Toi qui t'en va, je reste
Et tu m'adresses un grand signe de la main
Tes yeux connaissent des rêves,
Car je sais bien que tu m'oublies
Pour devenir un rêve
Pour une abeille que l'averse va noyer
Dans une rose du rosier
Il est si tendre le baiser tôt le matin,
Les amoureux se taisent,
Je dois attendre à la porte du jardin
Que le soir te ramène !
Car je sais bien que tu m'oublies
Pour un oiseau qui passe
Pour un roseau, pour une ombre, pour un rien
Jusqu'à ce que tombe la nuit Jusqu'à ce que tombe la nuit.
Tombe, tombe la nuit.
Je vois ton geste à la porte du jardin
Toi qui t'en va, je reste
Et tu m'adresses un grand signe de la main
Tes yeux connaissent des rêves,
Car je sais bien que tu m'oublies
Pour devenir un rêve
Pour une abeille que l'averse va noyer
Dans une rose du rosier
Il est si tendre le baiser tôt le matin,
Les amoureux se taisent,
Je dois attendre à la porte du jardin
Que le soir te ramène !
Car je sais bien que tu m'oublies
Pour un oiseau qui passe
Pour un roseau, pour une ombre, pour un rien
Jusqu'à ce que tombe la nuit Jusqu'à ce que tombe la nuit.
Tombe, tombe la nuit.
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